Un petit problème de santé nous fait traverser le El Salvador un peu rapidement pour me soigner dans un hôpital de la capitale où j’ai été pris en charge immédiatement et d’une façon extraordinaire avec un personnel très compétent et vraiment très serviable.
Des problèmes digestifs. Je ne peux plus manger, je n’ai plus de force. Un passage à l’hopital de la capitale avec perfusions et divers médicaments vont me permettre de vite retrouver la frite🤭.
Vous aurez compris que nous avons raccourci du coup, tout une partie de la traversée du pays.
Pour ne pas vous ennuyer et faire simple, il semble que le schéma de culture du Guatemala se reproduit un peu ici.
En beaucoup plus pauvre. Peu de culture, beaucoup de friches, il faut reconnaître qu’il fait très chaud, les cultures doivent souffrir. Ci-dessus une petite plantation de bananes.
Nous avons traversé malgré tout d’immenses étendues de canne à sucre à faible altitude (de 10 à 100m) sur plus de 150km.
Nous sommes en période sèche. La récolte bat son plein. Ici, des tracteurs avec des transbordeurs pour charger les camions, ils attendent la machine qui va récolter
Voici l’équipe d’agriculteurs qui attendaient la machine pour commencer la récolte. Nous avons échangé avec les photos de notre petit album sur nos métiers respectifs. Un moment intéressant pour nous. Trop bien ces rencontres.
Bien sur, ce petit résumé n’est qu’une vision raccourcie de l’agriculture au El Salvador. D’après les recherches et les échanges que nous avons eu, il semble que l’agriculture soit peu développée hors mis une agricuture familliale.
Une chose est sûre, les Salvadoriens sont adorables, souriants, accueillants, jamais de problème, le contact facile, patients. Toujours prêts à vous aider. Un peuple à découvrir. Ne les bousculer pas ils aiment être dans des hamacs. Bien sur, ils ont une bonne excuse, il fait très chaud, plus on se rapproche de l’équateur plus le thermomètre monte. Ce soir nous sommes à deux pas du Honduras, il fait encore 36 degrés à 18h le soleil est pourtant couché.
